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Bien Vivre au Mont Héry
21 rue Maurice Genevoix appartement numéro 21
51000 Châlons-en-Champagne

Bien Vivre au Mont Héry

Historique | Statuts | Membres du Conseil d'Administration


Historique

Historique de l'association Bien Vivre au Mont Héry

Objectifs et buts

  • L'association " Bien vivre au Mont-Héry " a pour but la défense des intérêts et de la qualité de vie individuelle et collective des habitants du Mont-Héry, à savoir :
  • promouvoir la défense de la qualité de vie et de la sécurité de l'ensemble de la population de cette zone d'habitation.
  • de créer un mouvement de sympathie et d'intérêts au Mont-Héry en contribuant à rassembler les habitants autour d'activités ludiques, récréatives, festives, sportives ;
  • de défendre les intérêts des populations que ce soit au niveau du " sous-sol ", mais également d'implantations ou d'aménagements pouvant nuire à la qualité de vie ou portant atteinte aux biens des personnes ;
  • de participer de façon bénévole aux réflexions études, études d'impacts en relation avec les buts de l'Association, ainsi que de participer au fonctionnement des organismes publics et privés concernés par l'aménagement du territoire.

L'Historique

L'aventure de notre association a commencé le 22 juin 2OOO. En effet à cette époque, une habitante de la rue de L'Egalité vint me voir très désemparée.

Alors qu'elle avait mis sa maison en vente, elle apprend que les futurs acquéreurs refusent de finaliser l'affaire. Ils sont informés par le cadastre que la zone du Mont-Héry possède des risques d'affaissement en raison de la présence dans son sous-sol de cavités souterraines anciennes.

Ces carrières de craie placent tout le quartier du Mont-Héry en zone rouge. De ce fait, tous les habitants du quartier voient leurs biens dépréciés voire invendables.

L'émotion est grande, les gens se mobilisent. La réunion organisée le 17 juillet suivant par la mairie, tourne à "l'affrontement " plus d'une centaine de personnes est présente ce jour-là et l'incompréhension et les questions sont nombreuses.

Le BRGM (bureau des recherches géologiques et minières) nous fait des promesses et prend des engagements pour le moins flous. Il a fallu attendre presque un an pour que celles-ci soient tenues et que les autorités débloquent des crédits (importants!) pour effectuer des études, des sondages gravimétriques pour arriver à la conclusion qu'il n'y avait aucun risque majeur pour le quartier. La cartographie de la zone du Mont-Héry délimite bien les cavités, leurs localisations et leurs degrés d'importance. Je vous renvoie aux conclusions de ces études qui figurent sur notre site.

Un an après le début des " événements ", le 28 août 2001, nous franchissions une étape supplémentaire en créant l'association " bien vivre au Mont-Héry " pour mieux défendre nos intérêts devant les autorités. L'association a permis de fédérer les énergies autour d'un projet et de valeurs communes.

La déclaration en préfecture fut déposée le 17 septembre 2O01 avec comme objectif : " défense des intérêts et de la qualité de vie individuelle et collective des habitants du Mont-Héry ".

Très vite les premiers adhérents, étant de fait propulsés au conseil de quartier, proposent d'élargir le champ d'intervention de notre association. Une première réunion aura lieu fin septembre 2001 pour parler du plan de circulation. Le succès est immédiat, les gens ont besoin de se rassembler, de débattre, de se rencontrer pour ne pas faire de leur quartier une cité dortoir !!!

Début 2OO2, nous lançons l'organisation de notre première brocante vide grenier au mois de juin suivant. Nous n'aurons pas trop de six mois pour faire de cette manifestation un succès, qui ne se dément pas cinq ans après. Tous les ans environ 30% des exposants sont des habitants du quartier. Dans la foulée, nous organisons notre fête de quartier, environ 80 personnes se retrouveront autour d'un barbecue en septembre 2OO2.

Cinq ans après, nous avons grandi, évolué. Nous continuons inlassablement à nous battre pour défendre l'image de notre quartier qui se développe sans cesse. Quelques réussites à notre actif, comme la création de l'aire de jeux du rond-point Charlier, la sécurisation de la rue Claire Lacombe, l'arrivée en septembre 2006 d'une ligne de bus au centre commercial, etc.

Sur tous les dossiers, nous essayons d'être présents que ce soit sur la sécurité, la circulation, les aires de jeux, les espaces verts, l'habitat, la sécurisation autour des deux lycées, le maintien et le développement du centre commercial etc. Il est vrai que nos rapports avec nos différents partenaires n'est pas toujours un long fleuve tranquille, mais nous pensons que c'est au prix d'une certaine persévérance, d'une ténacité de tous les instants que nous pourrons faire en sorte qu'il fasse bon vivre dans notre quartier. Nous avons bien conscience que tous les problèmes ne peuvent être résolus en un coup de baguette magique, beaucoup reste à faire, les impatiences sont légitimes c'est pour cela que nous continuerons notre travail de fourmis.

Le Président, Georges CASTILLO

Les propos tenus par les différents candidats n'engagent que leurs auteurs. Élections municipales les dimanches 23 et 30 mars 2014

Entretien avec Benoist Apparu le 19 mars 2014

Le Bureau de notre Association a rencontré, à l'occasion de la campagne des Municipales, M. Benoist Apparu, tête de liste de "J'aime Châlons".

Le Président de l'Association a rappelé la vocation de l'association " Bien Vivre Au Mont-Héry " ainsi que les thèmes qui lui tiennent particulièrement à cœur, à savoir : la création du Mont Héry-Est et ses répercussions, le plan de circulation, le Centre Commercial du Mont-Héry, la désertification et l'avenir du Centre-ville, la démocratie locale et la fiscalité locale.

M. Apparu tient à préciser concernant le premier point que la question à se poser est : " A-t-on besoin de ce nouveau quartier et, si oui, à quelle échéance ? Pour moi, ce n'est pas la priorité n°1. Pour le Mont-Héry Est, il faut d'abord reposer à plat l'ensemble des besoins de constructions sur Châlons. On n'a pas besoin d'habitat collectif social en plus de l'existant."

Le constat fait depuis 10-15 ans sur Châlons, mais également un peu partout en France, est qu'il y a eu trop de constructions, ce qui a eu pour conséquence notamment de déséquilibrer le marché de l'immobilier. "400 logements pour le Mont-Héry Est + 400 logements dans la zone Chanzy Forgeot : on n'a pas besoin de ça !". Les problèmes d'urbanisme sont souvent liés aux travaux faits dans l'urgence, sans concertation, et nous en subissons les conséquences pendant plus de 40 ans ! La preuve en est au Mont-Héry.

Dans le Centre-ville de Châlons, un logement sur dix est vide. On n'arrive pas à trouver preneur.

D'oû la question: quelle est la priorité pour Châlons ? " On n'a pas besoin d'avoir beaucoup plus de logements à Châlons. Restructurons donc l'existant, organisons la reconquête de l'habitat du Centre-ville."

Un membre du Bureau précise que c'est plus cher de rénover que de faire construire. Oui, mais M. Apparu ne souhaite pas d'une ville à moitié vide, il préfère réhabiliter l'existant.

Une des explications, mais ce n'est pas la seule, au fait que les logements vides existants ne se vendent pas au Centre-ville, vient du fait de la configuration de l'habitat du Centre-ville qui se trouve souvent au-dessus de commerces qui eux-mêmes se sont agrandis depuis 50 ans, empêchant l'accès facile aux logements. Aujourd'hui, ces immeubles tout en longueur ne correspondent plus à la demande. "L'idée c'est de repenser le Centre-ville dans toute ses composantes, limiter l'hyper centre, travailler en même temps sur tous les aspects, habitat, accessibilité, stationnement. De plus, la moyenne du prix au m2 des locaux commerciaux sur le Centre-ville de Châlons est de 300€ contre 110€ en périphérie."

Un autre constat important: la consommation en France a chuté de 2%, la crise est partout, la démographie est négative sur l'ensemble du territoire. Pour notre région, l'explication tient au fait que tout le quart Nord-Est de la France en était le berceau industriel. Aujourd'hui les flux de populations se font vers l'Atlantique et la Méditerranée. C'est une région de passage, c'est le plus faible taux d'immigration à Châlons.

"Notre région n'a pas de ville importante ni d'agglomération à forte densité de population. Le développement du territoire français se fait autour des grandes villes (Lille, Bordeaux, Marseille, Nice, Lyon,..). Entre 1975 et aujourd'hui c'est 6000 habitants de moins sur Châlons, donc des consommateurs en moins."

Le téléphone portable, Internet vont révolutionner la manière de consommer dans les années qui viennent (la nouvelle génération en est déjà coutumière), comme les photographes, banques, assurances, vente de chaussures, libraires…). Le commerce électronique a augmenté de 14% ! Donc il faut réfléchir pour les commerces au Centre-ville. Le nombre de M2 commerciaux va chuter fatalement.

Le rôle de la mairie est de créer les conditions d'attractivité pour donner aux commerçants l'envie de venir. Mais aujourd'hui, on ne peut pas réaliser un Centre-ville piétonnier dans la configuration actuelle.

Les commerces doivent répondre à des fonctions de proximité et servir l'ensemble de la ville. Il faut des habitants pour consommer, donc faire comprendre aux commerçants qu'ils doivent évoluer, changer.

Pour revenir au quartier, l'Association propose de créer un logo " Centre Commercial Châlons Nord " pour identifier le quartier du Mont Héry. M. Apparu défend cette idée, Il est prêt à nous aider à donner une identité au Centre Commercial.

La clé d'entrée du quartier n'est pas uniquement le plan de circulation, la question est comment arriver à avoir une approche globale d'urbanisme et quelles sont les conséquences à 50 ou 100 ans.
Un Plan Local d'Urbanisme (P.L.U.) se construit sur 5-6 ans et les effets en sont visibles à long terme.

Concernant les questions d'urbanisme, M. Apparu précise que ces fonctions de Ministre au Logement et à l'Urbanisme lui ont permis de savoir que le travail sur la ville ne peut se faire qu'avec les habitants, les comprendre pour appréhender la vie dans un quartier.

Concernant le Conseil de quartier, il réfléchit sur l'instauration d'une permanence pour gérer les problèmes du quotidien avec, en amont, une préparation au Conseil par Internet. Par contre, il n'est pas favorable à la cogestion avec l'attribution d'un budget. Dans un Conseil de quartier, l'intérêt individuel et l'intérêt général ne sont pas les mêmes.

Concernant la fiscalité, le constat est que, sur Châlons, 70% des gens ne paient pas d'impôts locaux de par leurs faibles revenus. Du coup, les 30% restants paient la totalité de l'assiette, d'oû le taux élevé d'impôts par rapport aux communes avoisinantes.

L'engagement pris officiellement est de baisser de 5% (en montant) en 2016 la taxe d'habitation. Pas avant car il faut absorber la baisse des dotations de l'Etat.

Pour finir, deux questions posées par le Vice-président :
Sur la refonte de la taxe d'habitation : "Elle ne se fera jamais, c'est une bombe sociale historique, sachant que les revalorisations des bases ne peuvent être faites que lors des dépôts des permis de construire".

Sur le cumul des mandats : "En 2017, entre Députation et Mairie, je choisis Châlons".

Notre Association s'est engagée à retranscrire le plus fidèlement possible sur notre site Internet la teneur de cet entretien.

Entretien avec Bernard Namura le 18 mars 2014

Le Bureau de notre Association a rencontré à l'occasion de la campagne des Municipales M. Bernard Namura, tête de liste de "République Plus".

Nous avons présenté à M. Namura un certain nombre de questionnements sur la vie du quartier et plus généralement sur des thèmes plus généraux de la vie municipale, comme la création du Mont-Héry Est et le plan de circulation, la pérennité du Centre Commercial du Mont-Héry et la désertification du Centre-ville (ex. : rue de la Marne), la démocratie locale et enfin la fiscalité locale.

M. Namura nous a remercié de l'accueil réservé et a souhaité réagir aux propos qui ont été tenus par notre Président concernant les principales préoccupations de notre Association en rappelant que sa liste citoyenne est composée de citoyens avant tout. Citoyens qui aiment vivre pour et par les autres.

Il a reformulé nos préoccupations sur les différents thèmes abordés en insistant sur le fait qu'effectivement nous souhaitions :

" Que la greffe prenne " avec le Mont-Héry Est, être dans la concertation pour tous les projets qui concernent notre quartier (Centre Commercial, plan de circulation, démocratie locale…).

M. Namura précise qu'il a fait l'objet de dédain de la part des uns et des autres dans un premier temps et que, depuis, il y a de plus en plus de considération vis-à-vis du programme cohérent qu'il propose. Il se décrit comme un candidat qui tient la route et qui est capable de " veiller au grain " pour vivre un Châlons libéré.

Parmi les propositions faites, M. Namura en développe quelques-unes :

Un changement radical de méthode basée sur le bon sens.
Le partage du pouvoir et de la parole, par la création notamment d'Assemblées Citoyennes de quartiers afin de se réunir régulièrement pour travailler sur des dossiers confiés par la Municipalité (jeunesse, urbanisme, fiscalité,…), puis la création de Conseils de Citoyenneté inter quartiers et enfin d'un Observatoire de la politique en cours (composé de citoyens).

Transparence du budget de fonctionnement de la Municipalité avec l'édition d'un livre blanc : le mandat se terminant, état des lieux sur ce qui a été fait et ce qui reste à faire.
Aujourd'hui, les informations fournies parlent de 76 millions d'euros pour le budget annuel de la Ville, 64 destinés au fonctionnement et 12 aux investissements. Cette année, la dotation de l'Etat pour financer les rythmes scolaires est de 600 000 euros.

M. Namura précise qu'" aucun autre candidat n'a dit qu'il se battrait pour obtenir un budget à la hauteur de la réalité de la cité ". Aux empêcheurs de tourner en rond, il répond : " Solliciteurs de décider en rond ".

Il est favorable aux référendums pour recueillir l'avis des Châlonnais.

Par ailleurs, il nous demande si nous sommes sollicités dans le cadre d'un projet de crèche au Centre Hospitalier de Châlons qui pourrait être ouverte aux habitants du Mont-Héry, ce à quoi nous répondons par la négative.

Notre débat s'achève après des thèmes plus généraux et notamment l'organisation des rythmes scolaires et les difficultés liées à sa mise en application.
Notre Association s'est engagée à retranscrire le plus fidèlement possible sur notre site Internet la teneur de cet entretien.


Entretien avec Rudy Namur le 6 mars 2014

Le Bureau de notre Association a rencontré, à l'occasion de la campagne des municipales, M. Rudy Namur, tête de liste de "Un nouveau souffle pour Châlons". Dans le même esprit, nous rencontrerons la liste conduite par M. Bernard Namura le mardi 18 mars 2014 et celle de M. Benoît Apparu le mercredi 19 Mars 2014.

Nous avons posé à M. Namur un certain nombre de questions sur la vie du quartier et plus généralement sur des thèmes plus généraux de la vie municipale.

Quelques questions comme par exemple l'avenir du Mont-Héry Est, le plan de circulation du quartier, l'avenir et la pérennisation du Centre Commercial, la démocratie locale et la fiscalité.

A propos du Mont-Héry Est, et par voie de conséquence, le plan de circulation, M. Namur, même s'il ne connaît pas le dossier pour ne pas y avoir été associé, s'engage à remettre à plat avec les habitants du quartier le débat sur le plan de circulation afin de prendre rapidement les décisions qui s'imposent.

A propos des Conseils de Quartier et de la démocratie locale, M. Namur propose un véritable espace de parole et des prises de décisions avec les habitants ainsi que l'attribution d'une enveloppe budgétaire pour le développement d'activités spécifiques.

En ce qui concerne la Zone Commerciale, M. Namur partage notre analyse qui place le Mont-Héry, non pas en opposition, mais en complémentarité. Le Mont-Héry doit rester à taille humaine avec l'implantation de commerces de proximité.

A propos du budget de la Ville, M. Namur nous indique que celui-ci est d'environ 79 millions d'euros par an. 16 millions sont consacrés aux investissements dont 11 millions sont réinjectés pour le Capitole qui a coûté 90 millions d'euros. Selon son analyse, cela laisse peu de place pour des investissements au service du quotidien des Châlonnais.

La fiscalité locale, qui est actuellement de 29.06 %, ne sera pas augmentée.

M. Namur souhaite faire des économies en créant une seule entité (Ville et Communauté d'Agglomérations).

Il s'engage à revitaliser le Centre-ville, entre autres en mettant en place de manière plus systématique un droit de préemption, permettant ainsi d'offrir des petits loyers aux futurs commerçants.

Par ailleurs, il nous indique qu'il soutient une proposition des syndicats du Centre Hospitalier de Châlons pour la création d'une crèche qui pourrait être ouverte aux habitants du quartier du Mont-Héry.

Notre débat s'achève vers 20h15 après des thèmes plus généraux sur la gestion et le financement de l'aéroport de Vatry, la création de zones de covoiturage sécurisées aux entrées de la ville (avec gestion sur un site dédié) ou bien encore l'arrivée de la fibre optique dans le quartier début 2015.

Notre Association s'est engagée à retranscrire le plus fidèlement possible sur notre site Internet la teneur de cet entretien.



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